Dieu en Amérique

 

Ceci est un résumé d’un article publié par Barbara Hollingsworth dans Cnsnews.com, le 17 Mai 2016.

“Dans votre nation, Dieu est érodée, éclipsée, liquidée,” Cardinal Robert Sarah, un initié du Vatican, a déclaré récemment à Washington, DC, à des centaines de membres importants du clergé catholique de premier plan et des laïcs. “L’immoralité n’est pas seulement acceptée et tolérée aujourd’hui dans les sociétés avancées, elle est même promue comme un bien social. Le résultat est l’hostilité aux Chrétiens et la croissant persécution religieuse.» «C’est sur défendre nous-mêmes, les enfants, et les générations futures de l’idolâtrie démoniaque qui veut toute une génération éclipsé de Dieu,» a affirmé le prélat. “Le monde entier vous regarde pour voir ce que l’Amérique décide sur les défis sans précédent que le monde est confronté. Telle est votre influence et responsabilité,» a déclaré le cardinal.

Citant Saint Jean Paul II que «l’avenir du monde et de l’Église passent à travers la famille,” Sarah a indiqué qu’une famille brisée peut aussi être la source de blessures psychologiques profondes. «Voilà pourquoi le diable est si determiné à détruire la famille.” Voilà pourquoi il est si important de se battre pour protéger la famille, la première cellule de la vie de l’Eglise dans toutes sociétés.”

La violence contre les Chrétiens n’est pas seulement physique, mais il est aussi politique, idéologique et culturelle. «Ne voyons-nous des signes de cette guerre insidieuse aux États-Unis?» demanda Sarah. En défense de la tolérance, l’enseignement de l’Eglise sur le mariage, la sexualité et la dignité humaine sont attaqués. “Jusqu’où va couler votre nation ses fondateurs ont construit sur un ensemble de revendications morales au sujet de Dieu, la personne humaine, le sens de la vie et le but de la société?” le cardinal a interrogé. “Soyez prophétique et fidèle, » priez pour l’âme de l’Amérique et pour «contribuer à endiguer la marée du mal répandrant dans le monde entier,» le cardinal a exhorté. «Car à la fin, il est Dieu ou rien.”

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